“Je quitte le Rewmi et la raison est fondamentale…” (Françoise Hélène Gaye)

Quelques éclaircissements concernant mon humble personne et le Collectif de Défense des Droits de Adji Sarr que je dirige. Afin que nul n’en ignore. Je ne suis pas militante du parti RÉWMI. Le Président Idrissa SECK n’est ni de près ni de loin concerné par l’appel que j’ai faite er la naissance du Collectif de défense des droits de Adji Sarr.

Aucunes de nos actions n’a été financé, instruite ou ci dirigée par lui ou ses collaborateurs. Nous n’avons été mus que par le devoir et la conscience de la gravité et l’imminence du péril et de l’impérieuse nécessité de lutter pour la préservation de notre chère patrie qui avait été piégée par des individus de peu de vertu qui étaient prêts à brûler notre pays à l’aune des ambitions présidentielles et de sa volonté de se soustraire à la justice sénégalaise instrumentalisant la peur, le terrorisme intellectuel et le terrorisme de l’insulte comme armes pour réduire le peuple sénégalais au silence.

J’ai jadis soutenu le Président Idrissa SECK sans lui avoir parlé ou demandé sa permission en toute honnêteté, en toute confiance et liberté. Mon combat a été rude contre ses ennemis. Je demande pardon aux uns et aux autres.

Je tourne aujourd’hui avec dignité et honneur cette page que j’ai écrite au détriment de mon honneur, de ma réputation et de ma famille au nom des principes qui ont toujours été à l’Alpha et l’Omega de chaque action de ma vie. Je souhaite bonne chance au Président Idrissa SECK et à ses collaborateurs.

Ma vie a été toujours guidée par des idéaux et principes de respect, de dignité et de courage. Nous sommes des descendants de générations et des générations de thiedos, des fils de cette terre qui n’ont jamais déshonoré leur sang. On nous tue on ne nous déshonore pas.

L’unique combat que je mènerai et c’est mon dernier combat est celui pour la Défense des droits de Adji Sarr. Cette petite orpheline, citoyenne sénégalaise abusée, violentée et vendue comme une vulgaire marchandise à qui on refuse ses droits devant la République.

Françoise Hélène Ditwiler Gaye
Présidente du Collectif de défense des droits de Adji Sarr.

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